Accompagnée d’un certificat d’authenticité SAGAN PARIS
Bijou vintage, travail anglais de la fin du XXe siècle (Londres 1998)

Sublime témoin de son époque, LA EVELINA se dévoile dans toute sa grâce lumineuse : une Pompadour romantique, à la fois enchanteresse et intemporelle, dont chaque éclat semble avoir capturé un morceau de ciel.
Un bijou merveilleux, délicatement travaillé, qui illustre avec poésie l’héritage raffiné de la joaillerie anglaise de la fin du XXᵉ siècle.

Son chaton floral de 14,5 × 12,3 mm incarne la majesté des montures Pompadour, pensées pour magnifier la pierre centrale et révéler la perfection de son entourage.

En son cœur, une topaze ovale facettée de 9,1 × 7 × 2,5 mm déploie sa transparence cristalline et sa teinte azurée, claire et lumineuse, telle une goutte d’eau céleste.
Une gemme divine, douce et étincelante, qui capture la lumière et la restitue en reflets scintillants. Juste sublime !

Tout autour, une couronne de 12 diamants taille brillant (environ 2 mm chacun, pour un poids total estimé à 0,42 ct) compose un halo éclatant.
Leur éclat scintillant souligne avec ravissement le bleu cristallin de la topaze, créant un contraste céleste.
On se perd à contempler la danse entre ces feux clairs et la pierre centrale, comme une constellation gravée dans l’or. ✨✨

L’anneau en or deux tons 18 carats (750/1000) associe la chaleur de l’or jaune à l’éclat pur de l’or blanc, qui sert de miroir aux diamants.
La galerie, finement ajourée, laisse la lumière circuler et embraser la gemme de reflets divins.

Les poinçons anglais (couronne pour or 750/1000, tête de lion pour Londres et lettre "y" minuscule attaché pour 1998) — en attestent l’authenticité et le raffinement.

Un bijou romantique et lumineux, à la fois poétique et intemporel, qui conjugue la douceur céleste de la topaze au scintillement étincelant des diamants.
LA EVELINA est un fragment de ciel serti d’or : une pièce enchanteresse, sublime et divine, faite pour traverser les époques. ✨

Un vrai coup de cœur !

L'INSPIRATION

LA EVELINA tient son inspiration de l’héroïne du roman Evelina; or, The History of a Young Lady’s Entrance into the World (1778), premier ouvrage publié par la romancière anglaise Frances Burney.

Dans cette œuvre fondatrice du roman épistolaire, Burney peint avec finesse les mœurs de la société londonienne de la fin du XVIIIᵉ siècle : les bals, les jardins illuminés de Vauxhall, les intrigues sociales et les faux-semblants des salons. Le lecteur suit Evelina Anville, jeune héroïne naïve mais vive, qui découvre pour la première fois le tumulte du monde. Entre la satire des convenances et l’élan romantique de sa sensibilité, elle trace peu à peu son chemin vers la reconnaissance et l’amour, guidée par sa délicatesse et son intégrité.

À son image, LA EVELINA s’offre comme une apparition lumineuse. Elle incarne l’innocence qui s’éveille, la fraîcheur d’une clarté cristalline qui trouve peu à peu sa place dans l’éclat du monde. Un bijou qui évoque la grâce des débuts et la poésie des révélations — fragile et étincelant à la fois, prêt à traverser le temps avec la même élégance intemporelle que l’héroïne qui l’inspire. ✨

"Votre aimable pupille, qui commence actuellement à entrer dans le monde, a trop de mérite pour rester cachée dans l’obscurité. Elle semble née pour être l’ornement de la société. La nature a répandu sur elle ses faveurs les plus précieuses, et l’éducation distinguée que vous lui avez donnée, a formé son esprit à un degré de perfection peu commun à son âge. Il n’y a que la fortune qui l’ait maltraitée jusqu’ici ; elle semble vouloir réparer ses torts, et elle lui ouvre aujourd’hui une carrière qui lui promet ce qui nous restoit encore à désirer pour elle."
(Lettre XXVII)
"Évelina à M. Villars :
Cette maison est le séjour de la joie ; chaque physionomie annonce la gaîté, tout le monde vous aborde avec un souris sur les lèvres. Je ne fais que roder pour m’amuser de la confusion qui y règne. On prépare une chambre sur le jardin pour servir de cabinet d’étude au capitaine. Lady Howard n’est pas un instant à la même place ; miss Mirvan fait des bonnets ; on s’occupe de tout côté ; on court de chambre en chambre ; on donne des ordres ; on les révoque ; on en donne de nouveaux ; tout est en désordre et en agitation."
(Lettre VIII)

Evelina, Frances Burney (1778)

LA EVELINA en détails

💍 Taille 52 (forfait mise à taille classique possible du 49 au 55 (50 euros), en cas d'écart plus important contactez-nous à hello@saganparis.com)

Pour une mise à taille classique (+/- 3 tailles), rendez-vous sur le lien suivant : forfait mise à taille classique 💍(à ajouter au panier lors de votre commande)

💎 or jaune et blanc 18 carats (poinçon anglais couronne), topaze 9,1 x 7 x 2,5 mm (égrisures, arêtes frottées), diamants 12 x 2 mm pour un total estimé à environ 0,42 ct

🪶 poids : 3,97g

📏 dimensions du plateau : 14,5 x 12,3 mm

🕰️ Période : 1998

Notes : ce bijou ancien a eu une vie passée et peut donc présenter de petits défauts, cela fait partie de son histoire et de son charme. N'hésitez pas à bien regarder les photos, elles font partie de la description.

Le prix du bijou prend en compte les petites imperfections que ce dernier peut présenter.

L'écrin ancien de présentation présent sur les photos n'est pas fourni. Le bijou vous sera envoyé dans un joli écrin rétro et accompagné d'une jolie boîte estampillée SAGAN Paris, éco-responsable et fabriquée en Europe.

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Code produit : B050725